Pour le président de la CENI,
le centre Carter a procédé par
une généralisation abusive
visant à nuire au processus
électoral en RDC. Ngoy
MULUNDA estime que le
Cardinal MONSENGWO n'aurait
rien à lui apprendre
lorsqu'on se réfère à
l'aboutissement malheureux
de la Conférence nationale
souveraine qu'il avait
pilotée.
La Commission nationale
indépendante électorale (Ceni)
était la cible des tirs croisés du
centre Carter et de l'archevêque
de Kinshasa, le cardinal Laurent
Monsengwo Pasinya. Dans sa
réplique, le pasteur président de
la CENI n'est pas allé par le dos de
cuillère.
Pour le président de la CENI, le
centre Carter n'a été
opérationnel que sur 25% des
sites où se déroulaient les
scrutins du 28 novembre 2011.
Il s'interroge ainsi sur la
crédibilité qu'on peut,
honnêtement, accorder à une
observation constituée de cet
échantillon. Le centre Carter a
procédé par une généralisation
abusive visant à nuire au
processus électoral. Tout se
serait passé à l'absence de
l'ancien président zambien,
président de la mission qui avait
travaillé en RDC. Le pasteur
président regrette, par ailleurs,
que le centre Carter se soit
comporté, plus comme auditeur
que comme observateur. En
conclusion pour le pasteur Ngoy
Mulunda, le centre Carter s'est
conduit plus en militants de
l'UDPS et qu'en observateurs
internationaux, a déclaré amer le
pasteur Daniel Ngoy Mulunda.
Réagissant aux propos du
cardinal Laurent Monsengwo,
Daniel Ngoy Mulunda se dit ne
pas s'étonné de cette prise de
position du prélat catholique.
Pour le président de la CENI,
l'archevêque de Kinshasa s'était
déjà inscrit sur la liste de ceux
qui étaient déterminés de
contester les résultats
provisoires. Une logique que le
président de la CENI ne partage
pas, estimant que Laurent
Monsengwo n'aurait rien à lui
apprendre lorsqu'on se réfère à
l'aboutissement malheureux de
la Conférence nationale
souveraine qu'il avait pilotée.
En rapport avec les divergences
constatées dans ses propos et
ceux de son vice-président
Jacques Djoli, Daniel Ngoy
Mulunda ne dénie pas le droit à
son adjoint de s'exprimer
différemment avec lui. «Il
s'appelle Djoli, moi je m'appelle
Ngoy Mulunda».
Le pasteur-président Daniel
Ngoy Mulunda promet de
mettre, un peu plus d'ordre dans
les centres locaux de compilation
des résultats afin d'éviter d'en
rajouter davantage dans la
confusion ambiante.
le centre Carter a procédé par
une généralisation abusive
visant à nuire au processus
électoral en RDC. Ngoy
MULUNDA estime que le
Cardinal MONSENGWO n'aurait
rien à lui apprendre
lorsqu'on se réfère à
l'aboutissement malheureux
de la Conférence nationale
souveraine qu'il avait
pilotée.
La Commission nationale
indépendante électorale (Ceni)
était la cible des tirs croisés du
centre Carter et de l'archevêque
de Kinshasa, le cardinal Laurent
Monsengwo Pasinya. Dans sa
réplique, le pasteur président de
la CENI n'est pas allé par le dos de
cuillère.
Pour le président de la CENI, le
centre Carter n'a été
opérationnel que sur 25% des
sites où se déroulaient les
scrutins du 28 novembre 2011.
Il s'interroge ainsi sur la
crédibilité qu'on peut,
honnêtement, accorder à une
observation constituée de cet
échantillon. Le centre Carter a
procédé par une généralisation
abusive visant à nuire au
processus électoral. Tout se
serait passé à l'absence de
l'ancien président zambien,
président de la mission qui avait
travaillé en RDC. Le pasteur
président regrette, par ailleurs,
que le centre Carter se soit
comporté, plus comme auditeur
que comme observateur. En
conclusion pour le pasteur Ngoy
Mulunda, le centre Carter s'est
conduit plus en militants de
l'UDPS et qu'en observateurs
internationaux, a déclaré amer le
pasteur Daniel Ngoy Mulunda.
Réagissant aux propos du
cardinal Laurent Monsengwo,
Daniel Ngoy Mulunda se dit ne
pas s'étonné de cette prise de
position du prélat catholique.
Pour le président de la CENI,
l'archevêque de Kinshasa s'était
déjà inscrit sur la liste de ceux
qui étaient déterminés de
contester les résultats
provisoires. Une logique que le
président de la CENI ne partage
pas, estimant que Laurent
Monsengwo n'aurait rien à lui
apprendre lorsqu'on se réfère à
l'aboutissement malheureux de
la Conférence nationale
souveraine qu'il avait pilotée.
En rapport avec les divergences
constatées dans ses propos et
ceux de son vice-président
Jacques Djoli, Daniel Ngoy
Mulunda ne dénie pas le droit à
son adjoint de s'exprimer
différemment avec lui. «Il
s'appelle Djoli, moi je m'appelle
Ngoy Mulunda».
Le pasteur-président Daniel
Ngoy Mulunda promet de
mettre, un peu plus d'ordre dans
les centres locaux de compilation
des résultats afin d'éviter d'en
rajouter davantage dans la
confusion ambiante.
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