L'audience sur le recours présenté par Vital Kamerhe, candidat de l'Union pour la nation congolaise (UNC), contre les résultats provisoires de la présidentielle du 28 novembre dernier, s'est ouverte ce matin, jeudi 15 décembre 2011, au palais de justice de Kinshasa.
Initialement prévue à huis clos, la Cour suprême a décidé de l'ouvrir au public, et faute de place, la requête est jugée au palais de justice.
L'audience a commencé à 13h00, avec quatre heures de retard, et elle a commencé par un malentendu. Le président de la Cour suprême a ouvert les débats en parlant de requête ncontre Joseph Kabila. Les avocats de Vital Kamerhe ont aussitôt précisé qu'ils n'ont rien contre le président Kabila, mais plutôt contre les résultats de l'élection.
Puis vient un deuxième malentendu, le président de la Cour demande si Vital Kamerhe est présent dans la salle. A ce moment-là, il n'est pas là. Les avocats de Kamerhe rétorquent: « Si vous exigez qu'il soit là, nous exigeons également que Kabila soit présent ».
Et puis coup de théâtre, l'arrivée de Vital Kamerhe vêtu d'un polo rouge et blanc, aux couleurs de son parti, qui vient lui-même présenter sa requête dans une salle d'audience archipleine.
La Cour suprême était trop petite pour cette audience.
C'est donc au palais de justice, à la Cour d'appel, qui est la plus grande salle du pays, qu'on a dû l'organiser. Il était prévu que l'audience se tienne à huis clos mais finalement elle se tient en public. Beaucoup de gens assistent donc aux débats debout, en compagnie des dirigeants politiques de l'opposition, de la majorité et également d'une marée de robes noires, les avocats.
Selon les résultats provisoires annoncés le 9 décembre 2011 par la Commission électorale nationale indépendante (Céni), Joseph Kabila a été réélu avec 48,9%contre 32,33% à Etienne Tshisekedi, qui a rejeté ces résultats.
L'ancien président de l'Assemblée nationale et opposant, Vital Kamerhe a obtenu 7,74% des
suffrages. Les résultats définitifs doivent être proclamés par la Céni, le 17 décembre, soit dans deux jours.
Initialement prévue à huis clos, la Cour suprême a décidé de l'ouvrir au public, et faute de place, la requête est jugée au palais de justice.
L'audience a commencé à 13h00, avec quatre heures de retard, et elle a commencé par un malentendu. Le président de la Cour suprême a ouvert les débats en parlant de requête ncontre Joseph Kabila. Les avocats de Vital Kamerhe ont aussitôt précisé qu'ils n'ont rien contre le président Kabila, mais plutôt contre les résultats de l'élection.
Puis vient un deuxième malentendu, le président de la Cour demande si Vital Kamerhe est présent dans la salle. A ce moment-là, il n'est pas là. Les avocats de Kamerhe rétorquent: « Si vous exigez qu'il soit là, nous exigeons également que Kabila soit présent ».
Et puis coup de théâtre, l'arrivée de Vital Kamerhe vêtu d'un polo rouge et blanc, aux couleurs de son parti, qui vient lui-même présenter sa requête dans une salle d'audience archipleine.
La Cour suprême était trop petite pour cette audience.
C'est donc au palais de justice, à la Cour d'appel, qui est la plus grande salle du pays, qu'on a dû l'organiser. Il était prévu que l'audience se tienne à huis clos mais finalement elle se tient en public. Beaucoup de gens assistent donc aux débats debout, en compagnie des dirigeants politiques de l'opposition, de la majorité et également d'une marée de robes noires, les avocats.
Selon les résultats provisoires annoncés le 9 décembre 2011 par la Commission électorale nationale indépendante (Céni), Joseph Kabila a été réélu avec 48,9%contre 32,33% à Etienne Tshisekedi, qui a rejeté ces résultats.
L'ancien président de l'Assemblée nationale et opposant, Vital Kamerhe a obtenu 7,74% des
suffrages. Les résultats définitifs doivent être proclamés par la Céni, le 17 décembre, soit dans deux jours.
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