Du
soleil levant,
Je
me lève
Au
soleil couchant,
Je
réalise mon rêve.
Animé
par ma passion d’écrire
Je
suis parvenu à décrire,
Les
maux que notre existence
A accepté sans résistance.
Du
soleil au vent,
Je
m’élève
Sous
ce soleil chauffant,
Je
sème sans trêve.
L’envie d’écrire m’anime,
Rien
que pour nous éviter l’abime.
En
écrivant sans complaisance
Ce qu’on s’est forcé d’ignorer avec
persistance.
Habité
par l’inhumanité,
Humanité
a perdu sa place.
Comme
la morale rime avec banalité,
L’animal
est devenu l’idole dans la glace.
Mes mots sont des lampes que j’allume
Pour
éclairer nos âmes
De
ces envies obscures
Que
nos visages maquillent.
Au lever du soleil
À
la tombée de la nuit,
Je
ne cesserai de déclamer avec allégresse
Mon
envie d’écrire.
Poème tiré du recueil de poèmes Fady Ambroie à paraitre...
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